Abordant notre avenir (et notre présent désormais) sans excès de technologie ou de délires futuristes, Never let me go parle du clonage et du don d’organes avec extrême douceur, lente poésie, esquissant quelques interrogations par rapport aux limites,...
Lire la suiteBatman : Le défi
Monstres et cætera 6/7 - 2005 [Critique rédigée par Stebbins] L ’opéra monstre de Tim Burton et Danny Elfma n S ouvenez-vous : ce fut au début des années 90, à une époque où le cinéma de Tim Burton n’avait pas encore été récupéré par la grosse machine...
Lire la suiteTrue grit
Qu’est-ce qui cloche vraiment dans True grit ? Pourquoi le film se regarde-t-il d’un œil si morne, sans éclat, tels un joli tableau, une jolie gravure laissant de marbre face à elle parce qu’incapable à procurer un sentiment de contentement, une quelconque...
Lire la suitePaul
Découvert en 2005 grâce au poilant Shaun of the dead, parodie des films de zombies zigzaguant entre pochade cool et gore tous azimuts, puis après avec celle du buddy cop movie (Hot fuzz), le duo rigolo Simon Pegg et Nick Frost revient fourrer son nez...
Lire la suite127 heures
Après Buried et son enterré vivant, voici 127 heures et son… Quoi ? Enroché ? Encaillouté vivant ? Vie, amputation et gloire d’un jeune con égoïste (c’est lui qui le dit) qui, coincé 5 jours et 6 nuits par une grosse pierre dans un canyon de l’Utah, va...
Lire la suiteMG dans ta face #6 (spécial César)
Allez hop, nouveau billet car, comme le veut la tradition, cinéma = César et César = billet sur les César. Sans grande originalité, mon billet portera sur les César donc, sauf qu’ils n’ont pas encore eu lieu et qu’ils n’ont pas encore été attribués (je...
Lire la suitePoupoupidou
On dirait ce film dévoué tout entier à l’Amérique, à ses mythes, à Ellroy, à Twin Peaks et même aux frères Coen (les paysages sous la neige de Fargo, la partie de bowling de The big Lebowski, l’hôtel étrange de Barton Fink…). Du panneau de bienvenue de...
Lire la suiteBlack swan
Dès la toute première scène, magnifique, de ce Black swan plus magnifique encore, Darren Aronofsky place son film sous les désordres mouvants du rêve et/ou du cauchemar, de l’épopée intérieure, et intérieure à Nina strictement. Le film débute ainsi, à...
Lire la suiteCarancho
Au cœur de la nuit argentine, à Buenos Aires précisément, deux âmes épuisées se rencontrent un peu par hasard, deux corps cabossés aussi, l’un courant derrière la mort, à l’affût, et l’autre tentant d’empêcher la Faucheuse au travail. Sosa et Luján se...
Lire la suiteMG dans ta face #5
Janvier, c’est là que tout commence, genre origine de l’année cinéma, et sans aucun gros raccourci, origine du monde [Note du patron : "MG, je crois très sincèrement que tu as besoin de faire un break..."]. Janvier 2010 avait mal démarré, Invictus, A...
Lire la suiteAngèle et Tony
Le cinéma français à teneur "réalisme social" : tout un programme. Le genre a donné de belles œuvres disparates, éclatées, mais toutes ancrées dans un contexte auscultant, de prêt, une certaine vérité contemporaine sous couvert des chemins de la fiction...
Lire la suiteLe discours d'un roi
Le roi George VI du Royaume-Uni : un peu de sa vie, un peu de son œuvre, et beaucoup de son bégaiement. Hagiographie annoncée droit devant, carrée et sans rien qui dépasse, faite pour les cérémonies à smokings, à robes de soirée et à moult récompenses...
Lire la suiteTron : L'héritage
On sait l’influence universelle, discrète mais essentielle, que Tron a acquis au fur et à mesure des années. Sorti en 1982, le film n’a pas eu le succès escompté (trop innovant, trop "ciblé"), gagnant son statut d’œuvre culte sur le tard. Presque 30 ans...
Lire la suiteJe suis un no man's land
Ce film est tellement raté et tellement chiant qu’on ne sait même pas par quoi commencer pour le descendre en flammes, méchamment, rapidement, violemment. À un moment du film, Philippe K. dit à sa maman : "Tu sais, je n’ai pas vu le temps passer". Au...
Lire la suiteThe thing
Monstres et cætera 3/7 - 1982 T rois ans après la sortie d’ Alien , John Carpenter proposait une version personnelle et terrienne du chef-d’œuvre de Ridley Scott, adaptée d’un roman de John W. Campbell et remake d’un film de 1951. Les coursives inquiétantes...
Lire la suiteMême la pluie
Inspiré par une actualité récente (lire ici un article sur la "guerre de l’eau") qui démontre, s’il était encore nécessaire, que la globalisation fonctionne (et fonctionnera toujours) dans un sens à courant unique, Même la pluie relate les événements...
Lire la suiteSous toi, la ville
Svenja et Roland se rencontrent dans un musée, par hasard autour d’une cigarette laissée allumée sur le rebord d’une œuvre d’art. Elle est la femme d’Oliver qui travaille pour Roland au sein d’un consortium banquier à Francfort. Ils ont une relation ensemble,...
Lire la suite2010 : Bis repetita
En 2010, Seuil critique(s) a carrément fait dans la polyglottitude (polyglottage ? Polyglottement ?...) et c’est tant mieux. Entre deux Danois dont un tournant en Écosse, un Argentin à Tokyo en anglais, un film italien avec une actrice anglaise interprétant...
Lire la suiteMG dans ton cul #4
Il était où MG, à Noël ? On peut savoir pourquoi on n’a pas eu de billet en décembre ? Parce que… Parce que… Tu sais où il était, MG, en décembre ?… Dans-ton-cul ! À Noël, on s’est fourré la dinde. Au Nouvel An, on va fister MG. Fister MG ? Mais vous...
Lire la suiteLes invincibles
Adaptée d’une série québécoise de 2005, Les invincibles version française est un grand petit plaisir sans prétention, sorte de Friends à la sauce Les 4 pas vraiment fantastiques ou d’un Sex and the city à la bière avec du poil sous les bras et sur les...
Lire la suiteAlien, le huitième passager
Monstres et cætera 7/7 - 2008 [Critique rédigée par Copa ] On ne finira jamais de jaser sur ce mythe, sur ce chef-d'œuvre de la science-fiction, ce pilier du cinéma d'horreur, cette référence futuriste, ce huis clos intense, morbide, et enfin ce monument...
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